A la suite de l’élection présidentielle, dont les résultats sont contestés, la répression exercée par le gouvernement s’est intensifiée après que l’armée ait sans discernement tiré à balles réelles sur des manifestants, tuant au moins 6 personnes dans la capitale, Harare, le 1er août. Amnesty International a dénoncé une « violente campagne marquée par la torture, l'intimidation et la suppression des voix dissidentes ».